lundi 29 mars 2010

Alfonso Cuaron and Mike Snow


Au fin fond du Fils de l'homme (Alfonso Cuaron), se niche un vieux baba dans un monde décomposé. Une relique 60's, un tantinet branchée philosophie et liberté. Un truc pour faire fantasmer les moins de 20 ans quand la grisouille plonge Londres dans une fin du monde so typique de la vague catastrophe au cinéma.

Un dernier pour la route, avec électro mélancolique et barbe à papa.

La figure du vieux fou, dionysiaque désynchronisé remonte à la surface. Comme chez Mike Snow, avec embrassade pour les jeunes gens. Un point raccord entre deux époques.


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