jeudi 15 octobre 2009

Mina, Nino and Pedro


Une série de prénoms dans les plus grands tubes signés Nino Ferrer. Mais avant Mirza, Gaston, Mao et Alexandre, le zozo qui voulait être noir écrivait des histoires d'amour pendant ses études d'archéologie. A l'époque, personne pour l'écouter dans la France gaullienne quand son slow bastonnait les hits en Europe. Surtout en Italie, version Mina.

Leçon retenue, Nino opta aussitôt pour le rire et faire passer son r'n'b classieux. Un autre malentendu généralisé. Car les merveilles soul étaient aussi mélancoliques.

Reste ce slow torrentiel qui flingua la botte 60's. Puis une piqure de rappel dans le beau Talon Aiguille réalisé par Pedro. 20 ans plus tard, une sauce tapas elle aussi inaudible sous les hourra movida.

Oui Pedro, pendant la movida, c'était pas seulement la movida.

On sait maintenant...

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